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pense-bête pour 2010
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10 février 2010

Les carottes sont cuidado

Aujourd'hui direction Marne-la-vallée/Chessy pour voir Mickey et ses amis. On a profité des billets d'entrée gagnés sur Radio classique (ça ne s'invente pas) et du billet SNCF aller-retour offert avec mes points Smiles. Merci l'écureuil. Pourtant le petit voyage a bien faillit être compromis: arrivés, avec pas mal d'avance heureusement, à l'arrêt de tram vers 7h (ouais, on s'est levé très tôt, on AIME disneyland), on apprends que la neige et le givre vont perturber le trafic pendant une heure. Pas de panique, retour dans la voiture et activation de neurones maximale pour trouver un plan B. Les 56 minutes suivantes, passées dans les bouchons et le métro, ont donc transpirés l'angoisse, puis le désespoir sur la fin (je crois qu'on pensait chacun de son côté que ce serait foutu mais on se le disait pas pour ne pas empirer les choses) et finalement on est arrivés par miracle 5 minutes avant le train. C'est ça aussi la magie de Disneyland.
Ce fut donc mon premier Disney sur et sous la neige, ça a son charme malgré le froid:
02_10_1 02_10_02
02_10_3 02_10_4
Il y a eu un monde raisonnable, juste assez pour profiter des files d'attentes, et on a pu faire presque tout ce qui nous intéressait. Faut dire qu'on sait gérer maintenant, on est des pro. L'inédit cette fois, car il en faut à chaque fois malgré tout, a été le fameux Crush's Coaster, LE truc où on se dégonfle car il a toujours 1 heure de queue dans le parc studio. Et ba c'est un peu comme la Space Mountain, je m'attendais pas à être autant secouée dans ma carapace de tortue.
Le problème quand on ne paie ni l'entrée ni le train, c'est qu'on a l'impression de pouvoir tout acheter pour compenser. Mais j'ai été assez raisonnable, je suis revenue avec une peluche de Crocodile (Mac-crocro), un sac à main et de la guimauve (ainsi que 2 nouveaux boutons pour ma collection héhé).
La malchance nous aura finalement accompagné jusqu'au bout car notre train de retour a eu 45 minutes de retard et c'est dans un état de fatigue indescriptible qu'on est rentrés au potager. Crevés mais ravis comme toujours.

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